Bio
Je suis née en 1982 à Morges/Suisse. Initialement formée à la sociologie, puis à la formation d’adultes, je me suis spécialisée dans le domaine des processus participatifs et collectifs. En 2015, j’ai co-fondé l’association Reliefs, basée à Lausanne, qui mène des projets collectifs et artistiques socialement engagés.
Longtemps, ma pratique artistique est restée cachée, intime. En 2016, j’entame un master en Arts Visuels axé sur l’art dans les sphères publiques (EDHEA). J’y développe une pratique qui rapproche mes intérêts: établir des relations authentiques avec l’”autre” et explorer une approche sensible des collectifs. A l’issue de cette formation, Reliefs prend de l’ampleur, riche des parcours de ses co-responsables, Gabrielle Chappuis et moi-même, à l’intersection de la culture et du travail social.
Ma pratique personnelle est l'occasion de revenir à moi afin de développer la meilleure attention possible quand j'interagis avec les autres. Cette pratique, réflexive, est une nécessité car je suis convaincue que la qualité du lien que je construis avec les autres dépend de la qualité de l’écoute que je me porte.
Les liens sociaux sont ma plus grande inspiration et mon plus grand défi. Je les souhaite toujours plus sensibles, à l’écoute et enracinés dans ce qui nous rend vulnérables et, par là-même, humains.
Longtemps, ma pratique artistique est restée cachée, intime. En 2016, j’entame un master en Arts Visuels axé sur l’art dans les sphères publiques (EDHEA). J’y développe une pratique qui rapproche mes intérêts: établir des relations authentiques avec l’”autre” et explorer une approche sensible des collectifs. A l’issue de cette formation, Reliefs prend de l’ampleur, riche des parcours de ses co-responsables, Gabrielle Chappuis et moi-même, à l’intersection de la culture et du travail social.
Ma pratique personnelle est l'occasion de revenir à moi afin de développer la meilleure attention possible quand j'interagis avec les autres. Cette pratique, réflexive, est une nécessité car je suis convaincue que la qualité du lien que je construis avec les autres dépend de la qualité de l’écoute que je me porte.
Les liens sociaux sont ma plus grande inspiration et mon plus grand défi. Je les souhaite toujours plus sensibles, à l’écoute et enracinés dans ce qui nous rend vulnérables et, par là-même, humains.
I was born in Morges/Switzerland in 1982. Initially trained in sociology, then in adult education, I specialized in participatory and collective processes. In 2015, I co-founded the Lausanne-based Reliefs association, which runs socially committed collective and artistic projects.
For a long time, my artistic practice remained hidden, intimate. In 2016, I began a Master's degree in Visual Arts focusing on art in public spheres (EDHEA). There I developped a practice that brings my interests closer together: establishing authentic relationships with the "other" and exploring a sensitive approach to collectives. At the end of this training, Reliefs grew, rich of the backgrounds of its co-directors, Gabrielle Chappuis and myself, at the intersection of culture and social work.
My personal practice is an opportunity to come back to myself in order to develop the best possible attention when interacting with others. This reflective practice is a necessity, because I'm convinced that the quality of the bond I build with others depends on the quality of the attention I pay to myself.
Social ties are my greatest inspiration and my greatest challenge. I want them to be ever more sensitive, attentive and rooted in what makes us vulnerable and, by extension, human.
For a long time, my artistic practice remained hidden, intimate. In 2016, I began a Master's degree in Visual Arts focusing on art in public spheres (EDHEA). There I developped a practice that brings my interests closer together: establishing authentic relationships with the "other" and exploring a sensitive approach to collectives. At the end of this training, Reliefs grew, rich of the backgrounds of its co-directors, Gabrielle Chappuis and myself, at the intersection of culture and social work.
My personal practice is an opportunity to come back to myself in order to develop the best possible attention when interacting with others. This reflective practice is a necessity, because I'm convinced that the quality of the bond I build with others depends on the quality of the attention I pay to myself.
Social ties are my greatest inspiration and my greatest challenge. I want them to be ever more sensitive, attentive and rooted in what makes us vulnerable and, by extension, human.
Contact:
lucie.schaeren@bluewin.ch